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Protéger les oiseaux migrateurs

Des oiseaux migrateurs comme les oiseaux de rivage et la sauvagine mènent une double vie — « faisant la navette » entre les aires de reproduction au Canada et les aires de survie hivernale aux États-Unis, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Les longs trajets qu'ils parcourent chaque année s'appellent des « voies migratoires ». Des centaines de milliers de ces espèces migratrices à plumes se reposent et refont le plein dans leurs endroits favoris en cours de route. Leur survie dépend beaucoup de la santé de chacun de ces habitats de séjour.

Les bécasseaux semipalmés, par exemple, se reproduisent le long des côtes de l'Arctique canadien. Durant leur migration vers le sud, ils passent environ dix jours dans les vasières de la baie de Fundy, engouffrant des crevettes fouisseuses jusqu'à ce qu'ils doublent leur poids. Les bécasseaux ont besoin de ce regain d'énergie parce qu'ils doivent effectuer un vol de trois jours sans escale jusqu'au Suriname, en Amérique du Sud. Près de 80 % des bécasseaux maubèches font escale dans la baie du Delaware chaque printemps, se régalant d'oeufs de limules pour faire le plein en vue de leur migration vers le nord, qui les mène de l'Argentine aux îles de l'Arctique. D'autres espèces comme les oies des neiges voyagent d'un habitat côtier à un autre, faisant escale dans des zones humides aussi loin à l'intérieur des terres que les Prairies.

Beaucoup d'espèces migratrices comptent également sur les marais côtiers et les marais d'eau douce parce que ces habitats formidables foisonnent de végétaux nutritifs. De fait, les plantes des marais produisent environ trois fois plus de denrées alimentaires que les plantes cultivées sur les terres agricoles.

Supposons qu'un seul de ces lieux de ravitaillement soit endommagé par la pollution ou l'exploitation du territoire, beaucoup d'oiseaux migrateurs risquent de ne jamais arriver à destination. C'est pourquoi toute action favorable aux océans en vue de protéger les habitats des oiseaux migrateurs — des îles de l'Arctique à la Terre de feu — est essentielle.

Voici quelques suggestions sur les façons d'aider les oiseaux migrateurs :

  • Choisissez une espèce migratrice de votre région. Renseignez-vous sur son aire de reproduction et celle de survie hivernale. Repérez sur une carte la voie migratoire que cet oiseau utilise pour s'y rendre et revenir au Canada, ainsi que les endroits où il s'arrête en cours de route.
  • L'espèce que vous avez choisie est-elle en danger de disparition, menacée ou vulnérable, dans l'un ou l'autre de ses « habitats »? Dans l'affirmative, pourquoi? Son habitat est-il protégé?
  • Quel habitat de votre région cette espèce fréquente-t-elle? Cet habitat a-t-il besoin d'être protégé? (Pour obtenir de l'aide, parlez à des protecteurs de la faune, naturalistes et groupes de conservation, ou à votre organisme gouvernemental de protection de la faune, aux professeurs d'une université de la région ou à un journaliste local chargé des questions environnementales.)

Que pouvez-vous faire pour améliorer cet habitat? Voici quelques exemples :

  • Ramassez les déchets ou les débris.
  • Protégez les zones fragiles contre tout danger. Par exemple, le pluvier siffleur fait son nid sur des plages sablonneuses où ses œufs bien camouflés sont souvent écrasés par des véhicules tout terrain, des personnes ou des animaux domestiques. Dans les provinces de l'Atlantique et au Manitoba, des bénévoles surveillent les plages où nichent ces oiseaux.
  • Encouragez les autorités locales à protéger les habitats essentiels ou à désigner des zones marines protégées.
  • Plantez des couvertures végétales et des cultures vivrières indigènes. Renseignez-vous auprès des biologistes locaux de la faune, naturalistes, groupes de protection de la faune ou autres experts pour savoir quelles espèces végétales conviennent le mieux. Ne plantez pas des espèces non indigènes qui pourraient envahir les autres espèces.
  • Lancez des programmes de sensibilisation pour inciter les propriétaires fonciers locaux à ne pas tondre la pelouse ni à planter des cultures de labour jusqu'au bord de l'eau. Les plantes qui poussent à ces endroits offrent des abris et des lieux de nidification aux espèces sauvages. Elles font également de l'ombre sur l'eau, ce qui permet de la maintenir à basse température durant l'été et d'augmenter l'approvisionnement en oxygène.
  • Communiquez avec la FCF pour en apprendre davantage sur la construction de structures de nidification à « l'épreuve des prédateurs ».
  • Surveillez l'endroit en question.
  • Comment les espèces que vous avez choisies ont-elles profité de votre projet? Est-ce que d'autres espèces en ont également profité?

Travaillez en équipe pour venir en aide aux voyageurs à plumes! Entrez en contact avec des écoles le long des voies migratoires de l'espèce que vous avez choisie. Par exemple, si vous habitez près d'une aire de reproduction d'un certain oiseau au Canada, vous pourriez faire équipe avec des écoles situées près de son habitat hivernal en Amérique centrale ou Amérique du Sud. Les écoles situées près des lieux de séjour, ou les « aires de rassemblement », pourraient aussi se joindre à l'équipe. Vous pouvez aussi faire équipe avec d'autres groupes soucieux de la protection des espèces migratrices :

  • Le Réseau de réserves pour les oiseaux de rivage dans l'hémisphère occidental (RRORHO) travaille à la conservation des habitats des oiseaux de rivage.

Protéger les zones côtières et les bassins versants

Peu importe où vous habitez sur la Terre, vous êtes dans un bassin versant. Sur une plus grande échelle, vous êtes également dans un bassin hydrographique. Si vous êtes à moins de 60 km d'une côte, vous habitez également dans une zone côtière. Ce qui arrive à l'eau dans votre région aura des répercussions sur les écosystèmes aquatiques en aval de votre bassin versant et dans votre zone côtière.

Votre bassin versant est-il en bonne santé? Voici des moyens de le savoir — et de passer à l'action si la situation exige des améliorations :

Osez comparer
Échangez idées et renseignements avec une autre école située dans votre bassin versant ou dans votre zone côtière. L'Internet peut vous aider à le faire.

Éliminez les débris
Renseignezvous si votre collectivité a les moyens de s'occuper des déchets dans les régions aquatiques. Organisez le nettoyage d'une plage, d'un ruisseau ou d'un terrain humide, ou adoptez un écosystème aquatique de votre voisinage et remettez-le en état de temps à autre.

Examinez les ordures que vous trouvez
Pouvez-vous reconnaître d'où elles viennent? Y a-t- il des déchets le long de la côte qui pourraient provenir d'un  autre pays? Renseignez les autres sur les déchets qui ont fait beaucoup de chemin.

  • Y a-t-il suffisamment de contenants pour y déposer les produits recyclables et les détritus dans le secteur? Dans la négative, demandez aux autorités locales d'en installer, ou faites-le vous-même. Obtenez la permission d'inscrire des messages sur les poubelles afin de rappeler aux gens que les ordures sont nuisibles aux espèces sauvages.
  • Trouvez des moyens novateurs de réutiliser et de recycler les débris. Par exemple, dans les zones côtières, recueillez les bouts de filets de pêche et offrez-les à des pêcheurs pour qu'ils réparent leurs filets. Vous pourriez également utiliser des bouts de filets nettoyés dans la classe d'arts plastiques ou comme matériel d'escalade dans le gymnase ou la cour d'école.

Enrayez la pollution
Inspectez votre maison ou votre école pour voir s'il y a des sources de pollution. Est-ce qu'on y utilise beaucoup de produits jetables qui pourraient polluer les écosystèmes aquatiques? Combien en utilise-ton par semaine, par mois ou par année?

  • Recommandez aux conseils ou commissions scolaires, ou aux groupes parents-maîtres des moyens de réduire la pollution. Consultez votre bibliothèque pour trouver des livres qui recommandent des produits sans danger pour l'environnement, pour remplacer les produits jetables ou dangereux.
  • Affichez des notes amusantes à la maison ou à l'école, pour rappeler aux gens d'utiliser des produits non dangereux et de réduire, réutiliser et recycler.
  • Faites le suivi de votre campagne contre la pollution après plusieurs mois, en effectuant une autre inspection. Si les habitudes ont changé, affichez un tableau comparant la pollution générée à la maison ou à l'école, avant et après votre campagne.

Intervenez sur une plus grande échelle
Inspectez l'usine locale d'épuration des eaux usées. Renseignez-vous sur les mesures antipollution en place en interrogeant un responsable. Voici le genre de questions que vous pourriez poser :

  • Depuis quand l'usine existe-telle? Quelle quantité d'eau usée y est traitée chaque semaine, chaque mois, chaque année?
  • Quels procédés d'épuration sont utilisés?
  • Comment les bactéries nuisibles sont-elles éliminées?
  • Les substances ou les produits chimiques dangereux sont-ils enlevés?
  • Où vont les boues résiduelles? Des études ont-elles été effectuées pour s'assurer que ces boues résiduelles ne nuisent pas à l'environnement?
  • Est-ce qu'on utilise les égouts pluviaux pour évacuer les eaux usées excédentaires? Où se déversent ces égouts? Si vous soupçonnez que l'usine d'épuration des eaux usées de votre localité pollue l'environnement :
  • Signalez la situation à votre ministère provincial ou territorial de l'Environnement.
  • Consultez des biologistes ou des experts de la faune pour savoir quels sont les dangers possibles pour les espèces sauvages et les habitats. Ces spécialistes pourraient également vous aider à trouver des solutions.
  • Présentez les résultats de votre enquête au conseil municipal.
  • Continuez de surveiller la situation. Il faut parfois beaucoup de temps avant d'apporter des changements, mais des pressions constantes peuvent finir par donner des résultats.

Vérifiez la qualité des eaux
Vous pouvez apprendre beaucoup de choses au sujet de la santé de votre bassin versant à l'aide d'un nécessaire standard de vérification de la qualité de l'eau.

  • Utilisez un nécessaire de vérification du pH pour déterminer si l'eau est acide ou alcaline. Les eaux saines sont souvent légèrement alcalines à cause du contenu de dioxyde de carbone. Une alcalinité trop élevée pourrait être un signe de pollution provenant des eaux usées. L'acidité indique souvent la présence de polluants d'origine industrielle.
  • La vérification des nitrates et des phosphates indique si des nutriments végétaux sont présents, et peut indiquer la pollution provenant des eaux usées ou du ruissellement d'engrais. Un disque de Secchi permet d'évaluer la turbidité (l'absence de transparence de l'eau). Il mesure la quantité de lumière qui atteint les plantes aquatiques.
  • Une turbidité élevée pourrait indiquer un grave problème d'érosion ou autre forme de pollution.
  • La vérification de la dureté de l'eau indique la quantité de minéraux (en majorité des ions de calcium et de magnésium) à la disponibilité des plantes aquatiques et des animaux. La vérification de la température de l'eau donne un aperçu de sa teneur en oxygène, étant donné que l'eau plus froide contient plus d'oxygène. Votre manuel de biologie ou un biologiste des pêches peut vous indiquer quelles températures conviennent aux différentes espèces de poissons.

Mesurer les conditions de l'environnement pose souvent un défi de taille. Tout environnement, comme une plage ou un lac, est constitué d'un bon nombre de parties différentes; il devient donc difficile d'en faire l'évaluation. Pour relever ce défi, les scientifiques prennent des échantillons de manière à obtenir des résultats représentatifs de l'ensemble d'un site d'essai. Autrement dit, ils veulent que leurs mesures reflètent le plus possible les valeurs réelles. Voici quelques notions de base sur l'échantillonnage :

  • Effectuez tous les essais et toutes les mesures à trois reprises — à trois endroits distincts, à des distances égales les unes des autres dans votre site d'essai (les scientifiques appellent ces endroits des « stations d'échantillonnage »).
  • Inscrivez les résultats de chaque essai avant de vous rendre à une autre station d'échantillonnage. Pour éviter la confusion, écrivez le nom ou le numéro de chaque station d'échantillonnage à côté de tous les résultats des essais relevés sur place.
  • Calculez la moyenne des trois résultats pour chaque station d'échantillonnage. Ensuite, calculez la moyenne des résultats des trois stations d'échantillonnage. Quelles sont les valeurs les plus élevées? Quelles sont les valeurs les moins élevées?
  • Si l'essai ne coûte pas trop cher, vous pouvez augmenter le nombre de stations d'échantillonnage. Cette stratégie donne une moyenne lus précise de l'ensemble du site d'essai. Une augmentation du nombre d'échantillons prélevés à chaque station améliore la précision des résultats de chaque station d'échantillonnage.
  • Pour des essais qui coûtent plus chers, vous pouvez réduire le nombre d'échantillons pris à chaque station. Cette méthode réduira l'exactitude des résultats, mais elle permettra une couverture plus étendue de votre site d'essai.
  • Inscrivez vos résultats sur un tableau. N'oubliez pas d'indiquer la vitesse des vents et les conditions météorologiques qui pourraient influer sur les résultats. Vos résultats indiquent-ils que l'eau est polluée? Dans l'affirmative, pouvez-vous déceler sa source?

Comparez vos résultats à ceux d'autres écoles dans votre bassin versant ou zone côtière.

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